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L’envers du monde

Thomas B. Reverdy

Rencontre animée par Fabienne Pavia

Né en 2020, s’adressant uniquement aux étudiants, le prix Écriture et création est décerné conjointement par Aix-Marseille Université (AMU) et Oh les beaux jours !. Nouvelle, court récit, poème, journal, bande dessinée ; fiction ou non-fiction, essai littéraire ou autobiographie… tous les genres et les formes sont permis, à condition que les auteurs respectent la thématique choisie cette année,L’Envers du monde, elle-même inspirée du titre d’un roman de l’écrivain Thomas B. Reverdy, président du jury.
Pour rendre cette remise de prix plus vivante encore, les dix lauréats et lauréates entendent en direct les commentaires de Thomas B. Reverdy sur la qualité de leur production, tandis que le texte qui reçoit le premier prix est lu sur scène par un comédien.ne étudiant.e à AMU. Une véritable petite leçon de littérature donnée en direct par un écrivain !


En partenariat avec Aix-Marseille Université.


À lire

  • Thomas B. Reverdy, L’Envers du monde, Seuil, 2010 ; Le Grand Secours, Flammarion, 2023.
  • S’émerveiller, AMU/Oh les beaux jours !, 2023.
    Ce recueil des textes récompensés l’an dernier est en accès libre sur ohlesbeauxjours.fr

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Les beaux jours de Romain Gary

Hervé Le Tellier et Kerwin Spire
Lecture par Emmanuel Noblet

Grand entretien posthume animé par Alexandre Alajbegovic

Depuis l’an dernier, les grands entretiens du festival rendent aussi hommage à des écrivains disparus. Ainsi, Romain Gary, de son vrai nom Roman Kacew, né en 1914 à Vilnius, en Lituanie, décédé en 1980 à Paris, dont l’œuvre immense continue de susciter l’admiration, et de faire l’objet de nombreuses adaptations et études.

La vie de Gary est en soi un roman : arrivé en France avec sa mère en 1928, il passe son adolescence à Nice, étudie le droit à Aix-en-Provence et s’engage dans l’Armée de l’air. Entré en résistance dès 1940, pilote de chasse pendant la Seconde Guerre mondiale, il est fait compagnon de la Libération et s’engage dans une carrière diplomatique, qui le mènera notamment à New York, puis à Los Angeles. Écrivain prolifique, ses romans seront marqués par les épisodes de sa vie, par un engagement humaniste contre les barbaries modernes, les injustices et les violences, entretenant une tension entre espoir et désespoir de voir l’homme céder à ses pulsions médiocres. Romain Gary est aussi à l’origine d’une des controverses les plus fascinantes de l’histoire de la littérature française, puisqu’il fut le double lauréat du Prix Goncourt, d’abord en 1956 pour Les Racines du ciel et ensuite en 1975, sous le pseudonyme d’Émile Ajar, pour La Vie devant soi, révélant ainsi la dualité et le conflit identitaire qui le hantaient.

Pour évoquer cette figure, l’écrivain Hervé Le Tellier, fervent admirateur de Gary, et Kerwin Spire, qui lui a consacré deux romans biographiques, seront réunis pour un exercice d’admiration. Images d’archives, extraits de films et interviews réalisées pour l’occasion ponctueront cet entretien, au cours duquel on entendra Romain Gary lui-même, avec sa voix charismatique, mais aussi Joann Sfar, autre grand admirateur, qui étudia à Nice dans le même lycée que Gary et l’a maintes fois dessiné.

Un grand entretien posthume pour découvrir ou redécouvrir l’œuvre et la vie d’un des plus grands écrivains du XXe siècle.


Retrouvez Hervé Le Tellier à la librairie Maupetit, juste après ce grand entretien, à 18h.
Il y présentera son nouveau roman, Le Nom sur le mur (Gallimard), au cours d’une rencontre animée par Élodie Karaki.


À lire

  • L’œuvre de Romain Gary est disponible dans La Pléiade (deux tomes) et chez Folio/Gallimard.
  • Kerwin Spire, Monsieur Romain Gary. Consul général de France – 1919 Outpost Drive – Los Angeles 28, California, Folio, Gallimard, 2022.
  • Kerwin Spire, Monsieur Romain Gary, Écrivain-réalisateur – 108, rue du Bac – Paris, VIIᵉ – Babylone 32-93, Gallimard, 2022.
  • Hervé Le Tellier, Le Nom sur le mur, Gallimard, 2024.

Les 1001 voix de la Citadelle

Bastien Boni, Jessie Chapuis et Valérie Manteau

Depuis plusieurs mois, Valérie Manteau arpente avec passion les cinq hectares de la Citadelle de Marseille, ce grand fort dominant le Vieux-Port qui fut construit au XVIIe siècle pour dompter l’esprit d’indépendance des Marseillais, et dont ils ont été privés d’accès depuis plus de 360 ans. Ce fleuron du patrimoine marseillais ouvre enfin ses portes au public, et la richesse de son histoire méconnue aux imaginations des écrivains !
Collectant les témoignages de celles et ceux qui entretiennent un lien, récent ou ancien, avec ce monument qui est loin d’avoir livré tous ses secrets, Valérie Manteau nous offre une première restitution de ce travail de mémoire.

C’est la comédienne Jessie Chapuis (que l’on a vue l’an dernier sur scène au festival avec Malik Djoudi) qui fera entendre quelques-unes des mille et une voix de la Citadelle, dans le décor splendide de la cour demi-lune. Elle sera accompagnée par le talentueux musicien et compositeur Bastien Boni à la basse.

Une rencontre avec Valérie Manteau et un échange avec le public suivront cette lecture musicale.


En partenariat avec La Citadelle de Marseille.

Veiller sur elle

Jean-Baptiste Andrea
Rencontre animée par Chloë Cambreling

Pour ouvrir le festival, Oh les beaux jours ! accueille Jean-Baptiste Andrea, dont le dernier roman, Veiller sur elle, a obtenu le prix Goncourt cette année et rencontre un vif succès public.
En 1986, Mimo, un sculpteur de génie, se meurt dans un monastère italien. Les moines l’ont accueilli quarante ans plus tôt pour «veiller sur elle». Elle, c’est cette statue splendide que le Vatican a soustrait au monde à cause de son étrange pouvoir de séduction et des réactions troubles qu’elle suscite. Mimo raconte sa vie romanesque à travers l’Italie du XXe siècle et sa passion pour une belle et brillante aristocrate, Viola Orsini.

Né en France, atteint de nanisme, Mimo devient l’apprenti de son oncle, sculpteur sur le plateau de Pietra d’Alba, qui le martyrise. Il se place sous la protection du marquis d’Orsini, qui reconnaît son immense talent, et noue une relation indéfectible avec sa fille, Viola, qui façonnera tout son être. Moderne, brillante et émancipée, elle initie le jeune sculpteur à la culture afin qu’il s’élève socialement et s’oppose farouchement au fascisme dans lequel se sont compromis Mimo et les hommes de sa famille. Mimo deviendra un célèbre artiste, Viola se morfondra dans un mariage de convenance, mais ils ne cesseront d’entretenir cet amour courtois dont ils se nourrissent l’un et l’autre.

Jean-Baptiste Andrea livre une fresque historique ambitieuse, qui met en avant l’engagement féminin à travers le personnage de Viola et l’évocation de cette mystérieuse statue que l’on protège en l’enfermant.


À lire

  • Jean-Baptiste Andrea, Veiller sur elle, L’Iconoclaste, 2023 (prix Goncourt 2023).

Les siestes acoustiques

Bastien Lallemant, Maëva Le Berre, Mocke, Albin de la Simone, Rémi Baille

Il n’y a pas qu’à Marseille qu’on fait la sieste, mais disons que dans la cité phocéenne l’exercice relève de la culture ! On ne présente plus ces siestes littéraires, créées il y a plus de dix ans par Bastien Lallemant. À ses côtés, des complices de choix, auteurs, chanteurs, compositeurs : Maëva Le Berre, Mocke et Albin de la Simone.

Pendant une heure, confortablement installés, laissez-vous bercer par l’alternance de lectures et de chansons. Il est d’ailleurs fortement recommandé d’apporter son oreiller et de s’endormir pour de vrai…

Une véritable expérience sensorielle pour mettre en pause le rythme trépidant du festival et découvrir en douceur comment les univers des écrivains se mêlent aux territoires explorés par les chanteurs.

Les écrivains invités
Samedi 25 mai, 14h – Marion Brunet
Dimanche 26 mai, 14h – Rémi Baille


À lire

  • Rémi Baille, Les Enfants de la crique, Le Bruit du monde, 2024.
  • Marion Brunet, Nos armes, Albin Michel, 2024.

À écouter

  • Bastien Lallemant, Les Micros Siestes acoustiques, Zamora Label, 2022 ; La Paresse, Zamora Label, 2024.

Les siestes acoustiques

Bastien Lallemant, Maëva Le Berre, Mocke, Albin de la Simone
Avec Marion Brunet (samedi) et Rémi Baille (dimanche)

Bon, d’accord, il n’y a pas qu’à Marseille qu’on fait la sieste, mais disons que dans la cité phocéenne l’exercice relève de la culture ! On ne présente plus ces siestes littéraires, créées il y a plus de dix ans par Bastien Lallemant. À ses côtés, des complices de choix, auteurs, chanteurs, compositeurs : Maëva Le Berre, Mocke et Albin de la Simone.

Pendant une heure, confortablement installés, laissez-vous bercer par l’alternance de lectures et de chansons. Il est d’ailleurs fortement recommandé d’apporter son oreiller et de s’endormir pour de vrai…

Une véritable expérience sensorielle pour mettre en pause le rythme trépidant du festival et découvrir en douceur comment les univers des écrivains se mêlent aux territoires sensibles explorés par les musiciens.

Les écrivains invités
Samedi 25 mai, 14h – Marion Brunet
Dimanche 26 mai, 14h – Rémi Baille


À lire

  • Rémi Baille, Les Enfants de la crique, Le Bruit du monde, 2024.
  • Marion Brunet, Nos armes, Albin Michel, 2024 (Prix littéraire du Barreau de Marseille 2024).

À écouter

  • Bastien Lallemant, Les Micros Siestes acoustiques, Zamora Label, 2022 ; La Paresse, Zamora Label, 2024.

Retrouvez Marion Brunet jeudi 23 mai à 17h30 à La Criée, pour une rencontre autour de Nos armes, qui vient de recevoir le Prix littéraire du Barreau de Marseille.

Ravages de Violette Leduc

Mathilde Forget et Laura Vazquez

En 1955, le roman Ravages, écrit par Violette Leduc, est publié dans une version censurée. Le manuscrit original a été amputé de ses cent-cinquante premières pages que Raymond Queneau, membre du comité de lecture de Gallimard, jugeait obscènes… L’ouvrage, qui retraçait l’itinéraire amoureux de Thérèse, alter ego de Violette Leduc, de son adolescence à l’âge adulte, a été expurgé d’un viol, d’un avortement et de passages érotiques lesbiens. L’écrivaine vivra cette censure comme un «assassinat» et envisagera même d’abandonner l’écriture.

En 2023, Ravages est enfin publié en intégralité par Gallimard. Thérèse y aime Isabelle, puis Cécile, puis Cécile et Marc, puis Marc, pleinement et sans censure ! Pour fêter ensemble cet événement littéraire, Mathilde Forget, qui a écrit l’une des deux préfaces de cette nouvelle édition, a imaginé une lecture augmentée mêlant archives et chansons, accompagnée par la poétesse et romancière Laura Vazquez.

Laura Vazquez a reçu le prix Wepler en 2021 pour son premier roman La Semaine perpétuelle et le prix Goncourt de la poésie en 2023 pour l’ensemble de son œuvre. Son dernier roman, Le Livre du large et du long (2023), est une épopée versifiée conçue comme un livre-monde, une encyclopédie incarnée. Mathilde Forget est autrice, compositrice et interprète. Elle a publié en 2019 un premier roman très remarqué, À la demande d’un tiers, suivi de De mon plein gré, qui met en scène la victime d’un viol s’accusant du meurtre de son agresseur.


À lire

  • Violette Leduc, Ravages, coll. “L’Imaginaire”, Gallimard, 2023.
  • Mathilde Forget, De mon plein gré, Grasset, 2021.
  • Laura Vazquez, Le Livre du large et du long, Éditions du sous-sol, 2023 (prix Goncourt de la poésie 2023).

Lecture musicale créée à la Maison de la poésie dans le cadre du festival Paris en toutes lettres.

Père et fils
d’après John Fante

Coco (dessin), Raphaël Imbert (saxophone) et Robin Renucci (voix)
Adaptation de la nouvelle par Evelyn Loew

Pour ouvrir le festival, La Criée et Oh les beaux jours ! vous invitent à une relecture de John Fante (1909-1943), ce grand écrivain américain, maître de l’autodérision, dont on dit qu’il n’écrivit jamais qu’une seule histoire: la sienne. Voilà qui pourrait bien se confirmer à travers «1933 was a bad year», une nouvelle que Robin Renucci a choisi de porter sur scène dans une forme inédite, une lecture à la fois musicale et dessinée, qui nous transporte avec émotion dans l’Amérique des années 1930 et de la Grande Dépression.

À dix-sept ans, on peut se tromper complètement sur sa vocation et ce n’est pas grave! À dix-sept ans, on peut être en proie à des émotions exacerbées. Comment un jeune homme de la troisième génération d’immigrés peut-il à la fois adorer et rejeter ses parents : une mère obsédée par la religion et un père maçon ? Comment, malgré le violent conflit qui les oppose, le lien d’amour et d’affection peut-il renaître, non plus imposé, mais choisi ? Comment les injustices sociales, humiliantes et inhibantes, sont-elles aussi un puissant moteur de révolte, d’énergie et de réussite ? Comment échapper au déterminisme d’une vie programmée quand on n’a qu’une idée en tête, devenir un champion de baseball ?

À la verve de John Fante, retranscrite par la voix de Robin Renucci, fera écho la virtuosité musicale du saxophoniste Raphaël Imbert, qui n’aime rien tant que les formats atypiques. Pour les accompagner et augmenter en images ce récit d’émancipation, la dessinatrice de presse et de bande dessinée Coco, admiratrice elle aussi de Fante, illustrera en direct ce texte où l’on retrouve nombre des thèmes chers à l’écrivain: rêve américain, trahison, transmission…


À lire

  • John Fante, « 1933 was a bad year », in L’Orgie, traduit de l’anglais (États-Unis) par Brice Matthieussent, Christian Bourgois, 1987.
  • Coco, Dessiner encore, Les Arènes BD, 2021.

Spectacle produit par La Criée, créé à l’occasion du festival.
En partenariat avec Oh les beaux jours !

Les beaux jours d’Emmanuelle Bayamack-Tam

Emmanuelle Bayamack-Tam et son invité, Frédéric Boyer
Grand entretien animé par Chloë Cambreling

À l’occasion d’une grande journée dominicale qui célèbre à La Criée les 40 ans des éditions P.O.L, Oh les beaux jours ! a convié l’un des grands noms de ce catalogue, Emmanuelle Bayamack-Tam, qui publie aussi des romans noirs sous le nom de Rebecca Lighieri, et dont l’œuvre, dense et d’une folle liberté, échappe à toute tentative de classification.
Récemment couronnée par le prix Médicis pour La Treizième Heure, l’écrivaine reviendra sur les thèmes récurrents de ses romans : la métamorphose, qui parcourt son œuvre, mais aussi le rapport au corps – notamment lorsqu’il se transforme à l’adolescence –, la famille et le nécessaire requestionnement du rôle qu’on lui alloue dans nos sociétés, la religion et l’appartenance à une communauté, la question du genre et des identités multiples…

L’entretien explorera également le style Bayamack-Tam, sa capacité à mêler les voix en explorant les genres littéraires (poésie, récit, chanson…) jusqu’à les renouveler, son art singulier et assumé de laisser infuser dans ses romans toutes les lectures qui l’ont « enfantée » en littérature. La conversation portera également sur une pièce de théâtre en cours d’écriture, dont nous sommes allés filmer les répétitions, et sur son goût pour le cinéma, en particulier pour les films de Pedro Almodóvar. Il sera aussi question du roman graphique qu’elle a écrit avec Jean-Marc Pontier, et bien sûr de Marseille, ville de ses origines présente dans nombre de ses romans, avec une interview exclusive d’une patronne de bar bien connue des Marseillais…

À ses côtés, pour évoquer la richesse de son travail et sa double identité littéraire, son éditeur, Frédéric Boyer, apportera un éclairage sur cette œuvre sans pareille.


À lire (bibliographie sélective) :

  • Emmanuelle Bayamack-Tam, La Treizième Heure, P.O.L., 2022 (prix Médicis 2022).
  • Emmanuelle Bayamack-Tam, Arcadie, P.O.L, 2018 (prix du Livre Inter 2019).
  • Emmanuelle Bayamack-Tam, Je viens, P.O.L, 2015.
  • Emmanuelle Bayamack-Tam, Si tout n’a pas péri avec mon innocence, P.O.L, 2013 (Prix Alexandre-Vialatte).
  • Emmanuelle Bayamack-Tam, Une fille du feu, P.O.L, 2008.
  • Rebecca Lighieri, Il est des hommes qui se perdront toujours, P.O.L, 2020.
  • Rebecca Lighieri, Les Garçons de l’été, P.O.L, 2017.
  • Rebecca Lighieri, Husbands, P.O.L, 2013.
  • Rebecca Lihieri et Jean-Marc Pontier, Que dire ?, Les Enfants Rouges, 2019.

S’émerveiller !

Avec Belinda Cannone, présidente du jury, et les étudiants lauréats
Remise du prix animée par Nicolas Lafitte, en présence d’Éric Berton, président d’Aix-Marseille Université

Né en 2020 sous l’impulsion de Robert Fouchet, qui nous a quittés l’an dernier et dont le nom est désormais associé à ce concours, le Prix Écriture et création est décerné conjointement par Aix-Marseille Université (AMU) et Oh les beaux jours !. Il s’adresse uniquement aux étudiants d’AMU, issus de toutes les disciplines. Nouvelle, court récit, poème, journal, bande dessinée ; fiction ou non-fiction, essai littéraire ou autobiographie… tous les genres et les formes sont permis, à condition que les auteurs respectent la thématique choisie cette année, S’émerveiller, elle-même inspirée du titre d’un roman de l’écrivaine et essayiste Belinda Cannone. Un sujet qui invite à l’optimisme et stimule les imaginations, offrant la possibilité à une communauté étudiante parfois fragilisée de s’exprimer. Les productions littéraires sont sélectionnées par un jury que préside Belinda Cannone, composé de membres du personnel et d’étudiants d’Aix-Marseille Université et de membres de l’équipe du festival Oh les beaux jours !.

Pour rendre cette remise des prix plus vivante encore, les lauréats et les lauréates entendent en direct les commentaires de la présidente du jury, Belinda Cannone, sur la qualité de leur production, tandis que le texte qui reçoit le premier prix est lu sur scène par une comédienne, étudiante en théâtre.

Une rencontre ouverte au public pour découvrir les talents littéraires de demain !

 

En partenariat avec Aix-Marseille Université.


À lire

  • Belinda Cannone, S’émerveiller, Stock, 2017.
  • Et j’ai su que ce trésor était pour nous, AMU/Oh les beaux jours !, 2022.