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La forêt qui marche

Un spectacle de Christiane Jatahy d’après Macbeth de William Shakespeare.
Avec Julia Bernat.

Avec La Forêt qui marche, Christiane Jatahy propose de nouvelles variations sur le théâtre, le cinéma et le rôle du spectateur, dans un spectacle aux confins des arts visuels, avec une écriture scénique et filmique dont elle seule a le secret. Si la grande metteuse en scène brésilienne s’inspire cette fois du Macbeth de Shakespeare, c’est pour mieux brouiller les pistes entre réalité et fiction en immergeant le public dans un infini jeu de miroirs.

De la tragédie shakespearienne, elle conserve les thèmes du pouvoir et du lien entre le politique et l’intime, qu’elle traduit sous la forme de témoignages filmés de personnes ordinaires ayant vu leur vie bousculée, en Europe comme au Brésil. Comme à son habitude, elle nous saisit par l’inventivité de ses dispositifs.
Le spectateur est d’abord convié à un événement semblable à un vernissage où il déambule entre installation vidéo et cocktail. Très vite, il se rend compte que les écrans, qui flottent ici et là dans l’espace, se déplacent sur son passage comme les arbres de la forêt de Birnam et que les discours jusque-là imperceptibles des personnages de la pièce prennent le pas sur les images. Depuis le bar de l’exposition, les spectateurs assistent alors à une transformation du dispositif. La fiction s’insinue subrepticement dans un cadre aux allures réelles, à la manière d’un cauchemar laissant apparaître les failles d‘un système.
Si la pièce de Shakespeare posait la question du pouvoir à travers le personnage de Macbeth, dans cette performance c’est le public qui est directement confronté à la question de la responsabilité, jusqu’à prendre la parole et représenter lui-même une instance de pouvoir…

Oh les beaux jours ! s’associe au Mucem pour vous faire partager cette expérience scénique inoubliable.


4 représentations de La Forêt qui marche auront lieu au Mucem pendant le festival :

  • vendredi 27 mai à 19h
  • samedi 28 mai à 18h30 et à 20h30
  • dimanche 29 mai à 17h30

création et direction live Christiane Jatahy  –  avec Julia Bernat  –  film Christiane Jatahy, Paulo Camacho –  vidéo live et éclairage Paulo Camacho  –  création des décors Christiane Jatahy, Marcelo Lipiani  –  conception sonore et musique originale Estevão Case  –  collaboration artistique Julia Bernat, Fernanda Bond, Isabel Teixeira, Stella Rabello, Henrique Mariano  –  costumes Fause Haten  –  système vidéo Julio Parente  –  assistant lumière Leandro Barreto  –  régisseur plateau Diogo Magalhães – assistant plateau Thiago Katona  –  ingénieur vidéo et musicien Felipe Norkus


production : Cia Vértice de Teatro
coproduction : Le CENTQUATRE-PARIS, Künstlerhaus MOUSONTURM Frankfurt am Main, TEMPO_FESTIVAL Rio de Janeiro et SESC São Paulo.
La compagnie Vértice de Teatro est soutenue par Petrobras. Christiane Jatahy est artiste associée à l’Odéon-Théâtre de l’Europe, au CENTQUATRE-PARIS, au Schauspielhaus Zürich, au Arts Emerson Boston et au Piccolo Teatro di Milano.


L’auteure, metteuse en scène et réalisatrice Christiane Jatahy est l’artiste invitée au Mucem pour la saison 2021-2022.


En coréalisation avec le  Mucem.

La forêt qui marche

Un spectacle de Christiane Jatahy d’après Macbeth de William Shakespeare.
Avec Julia Bernat.

Avec La Forêt qui marche, Christiane Jatahy propose de nouvelles variations sur le théâtre, le cinéma et le rôle du spectateur, dans un spectacle aux confins des arts visuels, avec une écriture scénique et filmique dont elle seule a le secret. Si la grande metteuse en scène brésilienne s’inspire cette fois du Macbeth de Shakespeare, c’est pour mieux brouiller les pistes entre réalité et fiction en immergeant le public dans un infini jeu de miroirs.

De la tragédie shakespearienne, elle conserve les thèmes du pouvoir et du lien entre le politique et l’intime, qu’elle traduit sous la forme de témoignages filmés de personnes ordinaires ayant vu leur vie bousculée, en Europe comme au Brésil. Comme à son habitude, elle nous saisit par l’inventivité de ses dispositifs.
Le spectateur est d’abord convié à un événement semblable à un vernissage où il déambule entre installation vidéo et cocktail. Très vite, il se rend compte que les écrans, qui flottent ici et là dans l’espace, se déplacent sur son passage comme les arbres de la forêt de Birnam et que les discours jusque-là imperceptibles des personnages de la pièce prennent le pas sur les images. Depuis le bar de l’exposition, les spectateurs assistent alors à une transformation du dispositif. La fiction s’insinue subrepticement dans un cadre aux allures réelles, à la manière d’un cauchemar laissant apparaître les failles d‘un système.
Si la pièce de Shakespeare posait la question du pouvoir à travers le personnage de Macbeth, dans cette performance c’est le public qui est directement confronté à la question de la responsabilité, jusqu’à prendre la parole et représenter lui-même une instance de pouvoir…

Oh les beaux jours ! s’associe au Mucem pour vous faire partager cette expérience scénique inoubliable.

 


4 représentations de La Forêt qui marche auront lieu au Mucem pendant le festival :

  • vendredi 27 mai à 19h
  • samedi 28 mai à 18h30 et à 20h30
  • dimanche 29 mai à 17h30

création et direction live Christiane Jatahy  –  avec Julia Bernat  –  film Christiane Jatahy, Paulo Camacho –  vidéo live et éclairage Paulo Camacho  –  création des décors Christiane Jatahy, Marcelo Lipiani  –  conception sonore et musique originale Estevão Case  –  collaboration artistique Julia Bernat, Fernanda Bond, Isabel Teixeira, Stella Rabello, Henrique Mariano  –  costumes Fause Haten  –  système vidéo Julio Parente  –  assistant lumière Leandro Barreto  –  régisseur plateau Diogo Magalhães – assistant plateau Thiago Katona  –  ingénieur vidéo et musicien Felipe Norkus


production : Cia Vértice de Teatro
coproduction : Le CENTQUATRE-PARIS, Künstlerhaus MOUSONTURM Frankfurt am Main, TEMPO_FESTIVAL Rio de Janeiro et SESC São Paulo.
La compagnie Vértice de Teatro est soutenue par Petrobras. Christiane Jatahy est artiste associée à l’Odéon-Théâtre de l’Europe, au CENTQUATRE-PARIS, au Schauspielhaus Zürich, au Arts Emerson Boston et au Piccolo Teatro di Milano.


L’auteure, metteuse en scène et réalisatrice Christiane Jatahy est l’artiste invitée au Mucem pour la saison 2021-2022.


En coréalisation avec le  Mucem.

La forêt qui marche

Un spectacle de Christiane Jatahy d’après Macbeth de William Shakespeare.
Avec Julia Bernat.

Avec La Forêt qui marche, Christiane Jatahy propose de nouvelles variations sur le théâtre, le cinéma et le rôle du spectateur, dans un spectacle aux confins des arts visuels, avec une écriture scénique et filmique dont elle seule a le secret. Si la grande metteuse en scène brésilienne s’inspire cette fois du Macbeth de Shakespeare, c’est pour mieux brouiller les pistes entre réalité et fiction en immergeant le public dans un infini jeu de miroirs.

De la tragédie shakespearienne, elle conserve les thèmes du pouvoir et du lien entre le politique et l’intime, qu’elle traduit sous la forme de témoignages filmés de personnes ordinaires ayant vu leur vie bousculée, en Europe comme au Brésil. Comme à son habitude, elle nous saisit par l’inventivité de ses dispositifs.
Le spectateur est d’abord convié à un événement semblable à un vernissage où il déambule entre installation vidéo et cocktail. Très vite, il se rend compte que les écrans, qui flottent ici et là dans l’espace, se déplacent sur son passage comme les arbres de la forêt de Birnam et que les discours jusque-là imperceptibles des personnages de la pièce prennent le pas sur les images. Depuis le bar de l’exposition, les spectateurs assistent alors à une transformation du dispositif. La fiction s’insinue subrepticement dans un cadre aux allures réelles, à la manière d’un cauchemar laissant apparaître les failles d‘un système.
Si la pièce de Shakespeare posait la question du pouvoir à travers le personnage de Macbeth, dans cette performance c’est le public qui est directement confronté à la question de la responsabilité, jusqu’à prendre la parole et représenter lui-même une instance de pouvoir…

Oh les beaux jours ! s’associe au Mucem pour vous faire partager cette expérience scénique inoubliable.


4 représentations de La Forêt qui marche auront lieu au Mucem pendant le festival :

  • vendredi 27 mai à 19h
  • samedi 28 mai à 18h30 et à 20h30
  • dimanche 29 mai à 17h30

création et direction live Christiane Jatahy  –  avec Julia Bernat  –  film Christiane Jatahy, Paulo Camacho –  vidéo live et éclairage Paulo Camacho  –  création des décors Christiane Jatahy, Marcelo Lipiani  –  conception sonore et musique originale Estevão Case  –  collaboration artistique Julia Bernat, Fernanda Bond, Isabel Teixeira, Stella Rabello, Henrique Mariano  –  costumes Fause Haten  –  système vidéo Julio Parente  –  assistant lumière Leandro Barreto  –  régisseur plateau Diogo Magalhães – assistant plateau Thiago Katona  –  ingénieur vidéo et musicien Felipe Norkus


production : Cia Vértice de Teatro
coproduction : Le CENTQUATRE-PARIS, Künstlerhaus MOUSONTURM Frankfurt am Main, TEMPO_FESTIVAL Rio de Janeiro et SESC São Paulo.
La compagnie Vértice de Teatro est soutenue par Petrobras. Christiane Jatahy est artiste associée à l’Odéon-Théâtre de l’Europe, au CENTQUATRE-PARIS, au Schauspielhaus Zürich, au Arts Emerson Boston et au Piccolo Teatro di Milano.


L’auteure, metteuse en scène et réalisatrice Christiane Jatahy est l’artiste invitée au Mucem pour la saison 2021-2022.


En coréalisation avec le  Mucem.

La forêt qui marche

Un spectacle de Christiane Jatahy d’après Macbeth de William Shakespeare.
Avec Julia Bernat.

Avec La Forêt qui marche, Christiane Jatahy propose de nouvelles variations sur le théâtre, le cinéma et le rôle du spectateur, dans un spectacle aux confins des arts visuels, avec une écriture scénique et filmique dont elle seule a le secret. Si la grande metteuse en scène brésilienne s’inspire cette fois du Macbeth de Shakespeare, c’est pour mieux brouiller les pistes entre réalité et fiction en immergeant le public dans un infini jeu de miroirs.

De la tragédie shakespearienne, elle conserve les thèmes du pouvoir et du lien entre le politique et l’intime, qu’elle traduit sous la forme de témoignages filmés de personnes ordinaires ayant vu leur vie bousculée, en Europe comme au Brésil. Comme à son habitude, elle nous saisit par l’inventivité de ses dispositifs.
Le spectateur est d’abord convié à un événement semblable à un vernissage où il déambule entre installation vidéo et cocktail. Très vite, il se rend compte que les écrans, qui flottent ici et là dans l’espace, se déplacent sur son passage comme les arbres de la forêt de Birnam et que les discours jusque-là imperceptibles des personnages de la pièce prennent le pas sur les images. Depuis le bar de l’exposition, les spectateurs assistent alors à une transformation du dispositif. La fiction s’insinue subrepticement dans un cadre aux allures réelles, à la manière d’un cauchemar laissant apparaître les failles d‘un système.
Si la pièce de Shakespeare posait la question du pouvoir à travers le personnage de Macbeth, dans cette performance c’est le public qui est directement confronté à la question de la responsabilité, jusqu’à prendre la parole et représenter lui-même une instance de pouvoir…

Oh les beaux jours ! s’associe au Mucem pour vous faire partager cette expérience scénique inoubliable.


4 représentations de La Forêt qui marche auront lieu au Mucem pendant le festival :

  • vendredi 27 mai à 19h
  • samedi 28 mai à 18h30 et à 20h30
  • dimanche 29 mai à 17h30

création et direction live Christiane Jatahy  –  avec Julia Bernat  –  film Christiane Jatahy, Paulo Camacho –  vidéo live et éclairage Paulo Camacho  –  création des décors Christiane Jatahy, Marcelo Lipiani  –  conception sonore et musique originale Estevão Case  –  collaboration artistique Julia Bernat, Fernanda Bond, Isabel Teixeira, Stella Rabello, Henrique Mariano  –  costumes Fause Haten  –  système vidéo Julio Parente  –  assistant lumière Leandro Barreto  –  régisseur plateau Diogo Magalhães – assistant plateau Thiago Katona  –  ingénieur vidéo et musicien Felipe Norkus


production : Cia Vértice de Teatro
coproduction : Le CENTQUATRE-PARIS, Künstlerhaus MOUSONTURM Frankfurt am Main, TEMPO_FESTIVAL Rio de Janeiro et SESC São Paulo.
La compagnie Vértice de Teatro est soutenue par Petrobras. Christiane Jatahy est artiste associée à l’Odéon-Théâtre de l’Europe, au CENTQUATRE-PARIS, au Schauspielhaus Zürich, au Arts Emerson Boston et au Piccolo Teatro di Milano.


L’auteure, metteuse en scène et réalisatrice Christiane Jatahy est l’artiste invitée au Mucem pour la saison 2021-2022.


En coréalisation avec le  Mucem.


Accès à cette représentation en soirée uniquement par la passerelle Saint-Laurent.

Francesca Mantovani

Les beaux jours de Jonathan Coe

Jonathan Coe et ses invités
Grand entretien animé par Yann Nicol

Chaque nouveau livre publié par Jonathan Coe provoque désormais une attente jubilatoire. C’est que le romancier d’outre-Manche s’est fait le brillant ausculteur d’une société britannique dont il dresse le portrait avec une acuité mordante, une belle dose d’humour et une certaine mélancolie. «Ce que signifie être anglais est devenu une obsession pour moi », explique l’écrivain à qui l’on doit notamment Testament à l’anglaise, La Maison du sommeil, Bienvenue au club, Le Cercle fermé, Expo 58, Numéro 11… Il y déploie un art du récit et une fausse légèreté, qui lui permettent souvent de convoquer les mêmes personnages d’un livre à l’autre, eux-mêmes subissant le passage du temps… Son avant-dernier roman, Le Cœur de l’Angleterre, en partie rédigé à Marseille où il était en résidence à La Marelle, nous plongeait avec malice dans les arcanes du Brexit et ses conséquences sur les individus tout autant que sur les sphères politiques et publiques. Il y questionnait aussi les maux communs à toutes les nations européennes : montée du nationalisme, crispations identitaires, political correctness…
Mais Jonathan Coe ne souhaite surtout pas qu’on le réduise à l’image de l’« écrivain anglais » du moment et puisque nous lui offrons cette carte blanche, il souhaite aborder bien d’autres sujets. Comme le cinéma, sa passion depuis toujours (il est notamment l’auteur de biographies sur James Stewart et Humphrey Bogart) qu’il met à l’honneur dans son dernier roman paru cette année, Billy Wilder et moi, où l’on retrouve le grand cinéaste américain, génial réalisateur de Sunset Boulevard ou de Certains l’aime chaud, à un moment où sonne le glas de l’âge d’or de la comédie hollywoodienne. Ou comme la musique qui est essentielle dans sa vie (il a fait partie de plusieurs groupes, dont un orchestre de cabaret féministe pour lequel il écrit des chansons et joue du piano !).

À ses côtés, dans la cour de la Vieille Charité, la comédienne Marie-Christine Barrault – dont le cinéphile Jonathan Coe ne peut ignorer qu’elle a joué au cinéma chez Rohmer ou Woody Allen – lira des extraits des textes du romancier et viendra lui exprimer son admiration. Il sera aussi question de l’élégance de la langue avec ses traductrices littéraires, Josée Kamoun et Marguerite Capelle, de l’adaptation au cinéma de La Vie très privée de Mr Sim avec le regretté Jean-Pierre Bacri et aussi de son lien à Marseille, ville qu’il dit apprécier particulièrement.

Une rencontre post-Brexit pour dire à l’Angleterre que nous l’aimons encore, ainsi que sa littérature !


À lire

  • Jonathan Coe, Billy Wilder et moi, Gallimard, 2021.

En coréalisation avec la Ville de Marseille — Musées de Marseille.

Robbie Lee

Les beaux jours de Nancy Huston

Avec Nancy Huston et ses invités
Grand entretien animé par Olivia Gesbert

Née à Calgary, Nancy Huston a grandi au Canada anglophone. Elle en garde des souvenirs forts qui parcourent son œuvre protéiforme et riche, romans, nouvelles, essais, théâtre, correspondances, livres pour la jeunesse mais aussi dialogues entre ses textes et des photographies, des dessins ou des peintures. Parmi ses souvenirs, celui, fondateur, de sa mère qui décide de quitter le foyer familial et ses trois enfants pour poursuivre ses études aux États-Unis. À cette mère absente, la petite fille écrit des lettres, s’interroge sur les raisons de ce départ qui forment autant de scénarios intérieurs et vont faire d’elle une romancière précoce.

Installée en France à l’âge de 20 ans, Nancy Huston découvre une autre culture et les combats féministes, cause pour laquelle elle continue aujourd’hui de prendre position en souhaitant que le féminisme ne se limite pas à la sphère sexuelle mais dénonce aussi les « valeurs viriles qui gouvernent la planète », conduisant à la guerre et aux violences physiques. L’écologie, les rapports entre pays riches et pauvres sont aujourd’hui au centre de son travail, comme dans son dernier roman, Arbre de l’oubli, un grand livre sur la quête des origines à travers une famille américaine observée sur trois générations. Une jeune femme, Shayna Rabenstein, née d’une procréation pour autrui, avec un père originaire d’une famille juive de Tchécoslovaquie installée dans le Bronx et une mère issue d’une famille bourgeoise protestante du New Hampshire, décide de partir sur les traces de sa mère biologique, afroaméricaine. Elle se rend à Ouagadougou, portant en elle toutes les questions et les contradictions de notre temps – genre, féminisme, procréation, laïcité… – que ce beau roman parvient à embrasser.

Au cours de ce grand entretien, Nancy Huston nous emmènera aussi en Haïti, pays dont la culture et les rites la fascinent, avec la présence à ses côtés de Jean-Marie Théodat ; on la suivra aussi à Paris dans les ateliers musique et poésie qu’elle mène passionnément. Car la musique est aussi l’une des grandes affaires de sa vie, comme en témoignent ses nombreuses collaborations avec des musiciens parmi lesquels Freddy Eichelberger, organiste et claveciniste avec qui elle improvisera une lecture musicale dans la cour de la Vieille Charité.

Une rencontre avec une grande romancière d’aujourd’hui porteuse d’une indéfectible énergie littéraire, politique et vitale, qui ne cesse d’interroger les bruits du monde.


À lire

  • Nancy Huston, Arbre de l’oubli, Actes Sud, 2021.

En coréalisation avec la Ville de Marseille — Musées de Marseille.