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Atelier 25

Éric Leconte

Éric Leconte est comédien et metteur en scène. Il a notamment travaillé avec Ariane Mnouchkine à plusieurs reprises ainsi qu’avec Simon Abkarian. Il est l’invité de la 5e édition du festival pour Philo Fight au Logos Club, mis en scène par Grégoire Ingold.

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Jean-Luc Colin

Jean-Luc Colin est comédien, fondateur et chargé de production de la compagnie Amadeus Rocket. Passionné d’improvisation, il a déjà réalisé un seul en scène, “Tout petit déjà” ainsi que d’autres créations mélangeant la danse et le théâtre avec “Folliage” avec la compagnie Itchy Feet en 2014. Il rejoint l’A.R.I.A. de Robin Renucci en Corse en 2013 et rencontre Grégoire Ingold la même année. C’est avec ce dernier qu’il participe à la 5e édition du festival dans Philo Fight au Logos Club.

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Manu Laskar

 

Manu Laskar est un comédien et réalisateur. Après une formation d’acteur à l’Ecole Supérieure d’Art Dramatique de Paris, il est membre permanent du collectif Chiens de Navarre en tant qu’auteur et acteur de 8 créations (Théâtre du Rond-Point, Bouffes du Nord, Centre Pompidou…). Son court-métrage “Calme ta joie”, produit par Ecce films, est présenté en 2015 à la Quinzaine des réalisateurs.

 

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Sébastien Barrier

Sébastien Barrier commence sa carrière en se formant aux arts de rue et au cirque avant de rejoindre les compagnies le Phun et GdRA. En 2005, il crée le personnage de Ronan Tablantec, son alter-ego marin-prêcheur douarneniste, qu’il promène pendant dix ans sur les routes. Il crée plusieurs spectacles, parmi lesquels Savoir enfin ce que nous buvons, à la suite duquel il écrira un livre, Chunky Charcoal et GUS. Sébastien Barrier est artiste associé du Grand T de Nantes depuis 2015.

 


Bibliographie sélective :

  • Savoir enfin ce que nous buvons, Actes Sud, 2016.
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Grégoire Ingold

Grégoire Ingold est comédien et metteur en scène. Après des études à l’École du Théâtre National de Chaillot sous la direction d’Antoine Vitez, il joue à plusieurs reprises au théâtre de Chaillot et à l’Odéon. En 1982, il fonde le Théâtre du Quai de la Gare à Paris qui permet à de nombreux jeunes metteurs en scène de monter leurs premiers spectacles. En 1988, Grégoire Ingold réalise plusieurs voyages d’étude en Afrique francophone, lors desquels il explore les différentes formes de théâtre populaire. A la suite de ces voyages, il reçoit le Prix Villa Médicis hors les murs en 1989 et crée le Festival Théâtre en Cités à Kinshasa, en République Démocratique du Congo. En France, il étudie les écoles de jeu qui façonnent le théâtre du 20e siècle et fonde l’Unité d’étude des écoles de mise en scène.

En 1997, il crée la compagnie Balagan Système avec laquelle il entame une mission de décentralisation, en association avec le Théâtre Gérard Philippe de Saint-Denis et La Comédie de Reims. Désormais installé en région Rhône Alpes, Grégoire Ingold met en scène des pièces où la dispute des idées et les différentes formes du théâtre forain sont au cœur des projets. Les derniers textes qu’il a mis en scène sont L’extravagant Monsieur Jourdain de Mikhaïl Boulgakov, Ahmed philosophe et La république de Platon d’Alain Badiou, et Entretiens d’embauche de Jacques Jouet.

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Xavier Legrand

Xavier Legrand est acteur, scénariste et réalisateur. Après des études au Conservatoire national supérieur d’art dramatique de Paris, il commence sa carrière au théâtre et en tant qu’acteur pour le cinéma et la télévision.

Son premier film, Avant que de tout perdre, est très bien reçu par la critique et obtient quatre prix au Festival international du court métrage de Clermont-Ferrand ainsi que le César du meilleur court métrage en 2014. Il est également nommé aux Oscars dans la catégorie Meilleur court métrage de fiction et est récompensé par de nombreux festivals de films partout dans le monde. Le succès se confirme avec Jusqu’à la Garde, son premier long métrage, qui reçoit le Lion du futur pour le meilleur premier film et le Lion d’argent du meilleur réalisateur à la 74e Mostra de Venise, ainsi que le César du meilleur film, du meilleur scénario original et le César des lycéens.

Depuis 2019, il travaille à une lecture du livre Suzanne & Louise d’Hervé Guibert, conçue par Arnaud Cathrine et Colombe Boncenne à la Maison de la Poésie et présentée durant le festival en 2021.

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Nicolas Martel

Passionné de théâtre et de danse, Nicolas Martel entre au Conservatoire national supérieur d’art dramatique de Paris en 1995. Il côtoie les univers de Nicolas Kerszenbaum, Natascha Rudolph, Claire Lasnes, Claude Baqué, etc. En parallèle, il éprouve le désir de travailler avec des chorégraphes et commence à travailler avec Sophie Bocquet, Aude Lachaise, Thomas Guerry, Thomas Lebrun, Caroline Marcadé…

Il danse et joue dans la pièce On a dit, on fait, un spectacle avec Madamelune, les films Killer of Beauty de Keja Kramer et Un été brulant de Philippe Garrel (scène dansée avec Monica Bellucci) ainsi que dans des vidéos : Même si des Rita Mitsouko, Summer is here de General Elektriks et Dans la peau de Camélia Jordana. Il a également été l’un des personnages de la comédie musicale Frère animal de Florent Marchet et Arnaud Cathrine.

Balthalzar Bago

Eva Doumbia

Franco-ivoirienne-malienne, Eva Doumbia est née au Havre. Installée à Marseille où elle fonde en 1999 la compagnie La Part du pauvre, elle se définit une « metteur en scène afropéenne. » L’artiste a été associée dix ans du Théâtre des Bernadines. Après s’être attachée à la découverte d’écritures contemporaines d’Afrique (Dieudonné Niangouna, Aristide Tarnagda…), elle se consacre aux textes écrits par des femmes noires, dramaturges comme romancières (Marie-Louise Mumbu, Léonora Miano, Maryse Condé, Fabienne Kanor, Jamaica Kincaid, Yanick Lahens…).

Pour Oh les beaux jours !, elle lit les textes de l’une d’entre elles, l’écrivaine guadeloupéenne Maryse Condé, lors de son grand entretien dans l’auditorium du Mucem.

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Maxime Touron

Maxime Touron est comédien et membre du collectif Scrupule du Gravier. Avec le comédien Julien Tanner, il crée Bref… Le Grand Nord en 2012. Depuis quelques années, il participe à la création d’un lieu de recherche artistique à Marseille : La Déviation.

Pour Oh les beaux jours !, Maxime Touron lit les textes d’Alice Zeniter lors de son grand entretien à La Criée.

Nicolas Serve / Oh les beaux jours !

Simon Abkarian

D’origine arménienne, Simon Abkarian est née en région parisienne en 1962. Après une enfance passée au Liban, il se rend à Los Angeles et y intègre une compagnie théâtrale arménienne dirigée par Gérald Papasian. De retour à Paris en 1985, il suit des cours d’acteurs sous l’enseignement de Robert Cordier. Puis il entre au Théâtre du Soleil d’Ariane Mnouchkine.

En 2011, il reçoit le Molière du meilleur comédien pour son rôle dans Une bête sur la Lune de Richard Kalinoski, dans une mise en scène d’Irina Brook, pièce relatant la vie d’un rescapé du génocide arménien. En 2004, au Festival international du film de Thessalonique, il obtient le prix du meilleur acteur pour Prendre femme.

Ses premiers rôles au cinéma lui sont proposés par Cédric Klapisch, qui l’engage sur les tournages de Ce qui me meut (1989), Poisson rouge (1994) et Chacun cherche son chat (1996). Les deux artistes collaborent à nouveau sur Ni pour, ni contre (bien au contraire) en 2003.
On l’a également vu incarnant un mauvais garçon dans J’irai au paradis car l’enfer est ici (1997), un repris de justice dans Dans tes rêves (2005), les caïds dans Les Mauvais Joueurs (2005) et dans le James Bond de Martin Campbell, Casino Royale (2006).

Après avoir prêté sa voix au père de Persepolis, l’acteur est à l’affiche de Secret Défense, Détention secrète, Khamsa et Musée haut, musée bas. En 2009, le réalisateur marseillais Robert Guédiguian le fait tourner dans L’Armée du crime, avec le rôle fort du poète résistant, Missak Manouchian.

Dans la création originale de Canal +, Pigalle, la nuit, il joue un patron de sex-shop, et devient un colonel afghan pour Kaboul Kitchen, série humoristique de la chaîne cryptée. En 2015, Simon Abkarian retrouve Robert Guédiguian pour son nouveau film, Une histoire de fou, avant d’être à la tête du casting de Malaterra, remake de Broadchurch ayant choisi comme nouveau cadre l’île de beauté.

Simon Abkarian est également auteur pour le théâtre. Il a publié quatre pièces chez Actes-Sud Papiers.