La littérature portugaise, 50 ans après la révolution des Œillets

Faire récit avec l'Histoire
Rencontre
vendredi 24 mai, 16h30
1 heure
Entrée libre sans réservation
Entrée libre

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Valério Romão, Luísa Semedo et José Vieira

Rencontre animée par Pierre Léglise-Costa

Le 25 avril 1974, les Portugais mirent fin à 48 années de dictature avec la chute du gouvernement Salazar, dans une révolution qui a marqué les mémoires. On y vit un peuple pacifique accrocher des œillets rouges au fusil des militaires, qui déposèrent leurs armes.
Après cela, la littérature portugaise a connu un renouveau, avec des écrivains comme José Saramago (prix Nobel de littérature en 1998), Antonio Lobo Antunes ou Lídia Jorge. La diffusion de la littérature portugaise reste cependant relativement limitée en France en comparaison avec d’autres littératures étrangères.
Pour célébrer le 50e anniversaire de cette révolution, trois écrivains portugais, de générations différentes, nous éclairent sur la richesse de cette scène littéraire. Né en 1957, José Vieira, a travaillé sur les questions d’immigration, notamment des familles portugaises en France. Né en 1974, Valério Romão a vécu en France jusqu’à l’âge de 10 ans, avant de s’installer au Portugal. Philosophe, militante, Luísa Semedo incarne quant à elle une littérature lusophone d’origine cap-verdienne.


En partenariat avec l’Instituto Camões et le Consulat du Portugal à Marseille


À lire

  • Valério Romão, Autisme, traduit du portugais par Elisabeth Monteiro Rodrigues, Chandeigne, 2024.
  • José Vieira, Souvenirs d’un futur radieux, Chandeigne, 2024.

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